Le directeur technique de Ripple explore actuellement le staking natif de XRP.

BlockBeats a rapporté, le 19 novembre, selon thestreet, que David Schwartz, directeur technique (CTO) de Ripple et l’un des architectes fondateurs de XRP Ledger, a proposé un nouveau modèle impliquant le staking, qui pourrait révolutionner le fonctionnement de ce réseau blockchain. Cette discussion trouve son origine dans un long post publié sur X par J. Ayo Akinyele, directeur principal de l’ingénierie chez Ripple, explorant la possibilité d’ajouter une fonctionnalité de staking sur XRP Ledger.

XRP Ledger a été lancé en 2012 et utilise le mécanisme de consensus Proof-of-Association (PoA), où les validateurs parviennent à un consensus sur les transactions XRP toutes les 3 à 5 secondes. En revanche, des blockchains comme Ethereum (ETH) et Solana (SOL) utilisent le mécanisme de consensus Proof-of-Stake (PoS), où les utilisateurs doivent verrouiller ou staker des actifs cryptographiques pour obtenir le droit de valider les transactions, garantir la sécurité du réseau et recevoir des récompenses en crypto-monnaies.

Akinyele a indiqué que XRP est passé d’un outil de transfert rapide de fonds à un réseau prenant en charge le règlement d’actifs tokenisés et la liquidité de marché en temps réel. Avec le lancement du premier ETF spot XRP aux États-Unis, l’écosystème XRP entre dans une nouvelle phase, ce qui a incité lui-même et Schwartz à envisager le support du staking natif sur XRP Ledger.